J'en parlais dans mon billet précédent, la volonté d'instrumentaliser le 1er Mai est la dernière basse manœuvre de Nicolas Sarkozy.
Lui qui, en cas de réélection, imposera par la négociation obligatoire les accords emploi compétitivité, lui qui a de nombreuses fois stigmatisé les syndicats en charge de ces négociations, tente une ultime provocation avec l'espoir grâce aux polémiques soulevées de refaire son retard d'un point de vue électoral.
Les réactions sont déjà nombreuses, la CFDT s’inquiète d'un détournement politique, l'UNEF appelle les étudiants à se mobiliser pour battre Nicolas Sarkozy, le 1er Mai dans la rue, le 6 Mai dans les urnes.
Les responsables politiques s'indignent, F.Hollande et Mélenchon, Jean Vincent Placé pour EELV.
Ici, les déclarations en vidéo de Martine Aubry premier secrétaire du PS, en vue pour le poste de premier ministre en cas de victoire de F.Hollande.
A la sixième minute de la vidéo : "c'est une honte d'utiliser le 1er Mai" (...) "Le 1er mai, c'est une fête du rassemblement de ceux qui travaillent et de ceux qui voudraient travailler (...). Et une fois de plus Nicolas Sarkozy, avec une valeur aussi forte que celle-là, va essayer d'opposer les Français"
Lui qui, en cas de réélection, imposera par la négociation obligatoire les accords emploi compétitivité, lui qui a de nombreuses fois stigmatisé les syndicats en charge de ces négociations, tente une ultime provocation avec l'espoir grâce aux polémiques soulevées de refaire son retard d'un point de vue électoral.
Les réactions sont déjà nombreuses, la CFDT s’inquiète d'un détournement politique, l'UNEF appelle les étudiants à se mobiliser pour battre Nicolas Sarkozy, le 1er Mai dans la rue, le 6 Mai dans les urnes.
Les responsables politiques s'indignent, F.Hollande et Mélenchon, Jean Vincent Placé pour EELV.
Ici, les déclarations en vidéo de Martine Aubry premier secrétaire du PS, en vue pour le poste de premier ministre en cas de victoire de F.Hollande.
A la sixième minute de la vidéo : "c'est une honte d'utiliser le 1er Mai" (...) "Le 1er mai, c'est une fête du rassemblement de ceux qui travaillent et de ceux qui voudraient travailler (...). Et une fois de plus Nicolas Sarkozy, avec une valeur aussi forte que celle-là, va essayer d'opposer les Français"
Bonsoir.On peut se demander dans quelle mesure "ils" cherchent le "clash" pour faire un "genre" 30 mai 1968.
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